...tout est dans le titre...

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Quelques images prises en balade par-ci par-là...

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Sur le site du Grand-Hornu, il y a deux espaces d'expositions: le C.I.D (Centre d'Innovation et de Design), proposant actuellement "Plant Fever", dont je vous ai parlé précédemment, mais il y a aussi le MAC's (Musée des Arts Contemporains).

Le MAC's consacre son espace à l'exposition "No room for regrets", de Johan Muyle.

En voici quelques images... que, par principe, je ne commente pas: à vous de vous en faire votre propre avis.

Petit avertissement habituel: la photographie dans une salle d'exposition est soumise à de nombreux aléas (interdiction d'utiliser un pied, reflets, lumières non adaptées, ombres parasites...etc...). Ceci explique que la qualité des images n'est pas toujours d'un bon niveau. Il faut donc considérer cet article comme une invitation à la découverte plutôt que comme un reportage....

Les musées et les expos sont de nouveau accessibles, sous certaines conditions... ce qui m'a donné l'occasion d'aller faire un tour au Grand-Hornu où j'ai pu visiter l'exposition "plant fever, vers un design phyto-centré", organisée par le C.I.D. (Centre d'Innovation et de Design).

Cette expo met en avant le projet de certains designers qui redéfinissent la relation entre l'humain et le végétal...

Quelques images:

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 Pour les gastronomes, il y a même quelques recettes....

Ce projet de design phyto-centré repose sur un manifeste en 7 points que je vous résume ci dessous:

1. Cessons de considérer les plantes comme des objets sans vie pour établir des relations plus harmonieuses avec elles,
2. Boycottons les monocultures: il faut sortir des vieux schémas capitalistes et soutenir les systèmes pluriculturels,
3. Protégeons les liens entre les peuples indigènes et les plantes de leur environnement: le partenariat homme-plantes doit être basé sur la réciprocité,
4. Repensons la relation avec les plantes non indigènes: arrêtons la guerre contre les invasives,
5. Remettons en question la surconsommation,
6. Repensons les flux de déchets,
7. Comprenons avant de concevoir.

Du bon sens... mais de nombreux points valant la peine d'être débattus... débat que je n'ouvre pas ici !

Une dernière pioche dans mes archives consacrées à l'Estrémadure (avril 2018).

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Encore quelques images d'un séjour en Estrémadure en avril 2018.

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Je vous présente à tous mes meilleurs voeux pour 2021....

Je vous propose de nous éloigner du temps déplaisant qui sévit sue le Belgique en cette fin d'année et de nous replonger dans des archives printanières...

Voici, tirées de mes archives, quelques images prises en Avril 2018 en Estrémadure.

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Mons, capitale du Hainaut....

Ces quelques images datent du mois de septembre.

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Rénovation urbaine: on a construit un HLM pour les oiseaux des villes...

Ooops.... Bonjour Madame....

Le plus petit de nos Grèbes, parfois affectueusement nommé "le petit bouchon"....

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Bon...que trois photos allez-vous me dire ?

Ben oui... Un peu de bla-bla pour étoffer un peu le sujet...

Castagneux ? c'est parce qu'il aime la castagne ? C'est un petit teigneux ?

Mais non ! Cet adjectif "castagneux" signifie "couleur de châtaigne"

Si on se plonge dans Géroudet:

     "A cette saison (l'hiver), son plumage châtain clair, comme la péllicule soyeuse d'une châtaigne décortiquée.....

      ...au mois de juin, c'est un castagneux presque noir,... une châtaigne rôtie..."

Il est résident chez nous, on peut donc le voir en Belgique toute l'année.

En réalité, c'est un migrateur partiel: en hiver la population locale de castagneux peut être renforcée par des individus venant de l'est de l'Europe.

La période migratoire est d'ailleurs un des rares moments ou il vole, mais il est rarement observé en vol migratoire, étant un migrateur nocturne. En dehors de cette période il rechigne à utiliser ses ailes pour s'envoler...En cas de danger, il se sent probablement plus en sécurité en plongeant sous l'eau.

L'UICN le classe en LC (Préoccupation mineure), il n'est donc pas considéré comme menacé et ses populations sont abondantes.